« Dis-donc, qu’est-ce que tu causes pour un petit poil ! ».
Petit-Poil-de-Cul prit ça pour un compliment et continua sur sa lancée : « Mais d’où venez-vous ? Quelle merveilleuse surprise ! Vous êtes étranger ? Qui vous coiffe ? Je peux toucher ? ». C’est alors qu’il prit soudainement conscience de la terrible situation. Ses petites mains. Toujours coincées dans son petit trou. Petit-Poil-de-Cul se dit qu’il était temps de forcer la nature, une nouvelle fois. Il serra ses petits poings, serra ses petites dents, se concentra très fort et poussa de toutes ses forces, « pouêêêt !! ».
« Oh la vache ! Je comprends pourquoi ça fouette tellement par ici ! Mais qu’est-ce qu’on te donne à bouffer ? ».
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