Qui aurait pu imaginer que Petit-Poil-de-Cul serait si sensible ? Olfactivement parlant. C’était bien sa veine. Du coup, il avala une toute petite aspirine et pria très fort : « Crotte, j’espère que je vais m’y habituer, parce que sinon, bonjour… ».
Après quelques instants, il se sentit mieux. Enfin presque. Une sensation de brûlure pas très sympa vint lui chatouiller l’estomac.
« Eh p’tit con, avec une aspirine, il faut boire beaucoup d’eau ».
Petit-Poil-de-Cul remercia chaleureusement la voix, s’excusa de ne pas pouvoir se retourner, et but un grand verre d’eau, et du coup, ça allait beaucoup mieux.
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