Petit-Poil-de-Cul se remit en vitesse dans sa position initiale parce que l’odeur devenait franchement brutale dans ce sens. Il avait presque honte de s’être lamenté jusque-là.
« Aïeeuuuuh ! ».
Et voilà. Il avait bien envisagé le déportement de la tête vers la droite, mais pas le retour. Une douleur commençait à envahir son petit cou. La faute à qui ? Son nez ! Celui-ci était fin, délicat, sensible. Petit-Poil-de-Cul songeait même à s’en servir comme d’un atout pour entrer dans le monde merveilleux de la parfumerie.
Il maudit ce nez si parfait et décida de ne pas trop bouger pour éviter la douleur.
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